R énovations en C ours
Sélection d'un jardin
>> cliquez sur une vignette
square Ernest Bichat
1905 : après le décès d'Ernest Bichat, célèbre professeur de physique à l'Université des Sciences de Nancy dont il fut le doyen de 1888 à 1905, un comité est créé à l’initiative des professeurs de l’Université, chargé d’émettre une souscription pour l’érection d’un monument commémoratif.
Le sculpteur Bussière est chargé de la réalisation de l’oeuvre.
1909 : inauguration le 13 juin en présence du ministre de l’Instruction Publique, Gaston Doumergue, des directeurs des trois ordres d’enseignement, de nombreux enseignants et scientifiques français et étrangers.
1943 : le buste est caché dans les sous-sols de l'Université, pour éviter d’être fondu sous le régime de Vichy. Mais les deux allégories n’échappent pas à la destruction et ne seront pas remplacées.
1990 : après avoir été volé, le buste est remplacé par une copie obtenue grâce au modèle de Lunéville et fondue par Huguenin.
square Ernest Bichat
1905 : après le décès d'Ernest Bichat, célèbre professeur de physique à l'Université des Sciences de Nancy dont il fut le doyen de 1888 à 1905, un comité est créé à l’initiative des professeurs de l’Université, chargé d’émettre une souscription pour l’érection d’un monument commémoratif.
Le sculpteur Bussière est chargé de la réalisation de l’oeuvre.
1909 : inauguration le 13 juin en présence du ministre de l’Instruction Publique, Gaston Doumergue, des directeurs des trois ordres d’enseignement, de nombreux enseignants et scientifiques français et étrangers.
1943 : le buste est caché dans les sous-sols de l'Université, pour éviter d’être fondu sous le régime de Vichy. Mais les deux allégories n’échappent pas à la destruction et ne seront pas remplacées.
1990 : après avoir été volé, le buste est remplacé par une copie obtenue grâce au modèle de Lunéville et fondue par Huguenin.
Dégustation du "Mira L'or"
Dégustation du "Mira L'or"
une coutume ancienne
La galette des rois est à l'origine liée aux célébrations du solstice d'hiver, propice aux divinations. Elle tire son origine non pas à la chrétienté, mais des Saturnales (fêtes romaines célébrant le dieu Saturne, durant lesquelles les Romains désignaient un esclave comme « roi d'un jour ». Jusque dans les années 1960, la fête de l'Épiphanie correspondait au jour où les rois mages, guidés par la lumière d'une étoile, arrivèrent jusqu'à Jésus, dans l'étable où il est né, C'était un jour férié qui tombait le 6 janvier. Mais depuis Vatican II (1962-1965), l'Épiphanie est célébrée le 1er dimanche suivant le 1er janvier. Mais bien souvent, on savoure la galette durant tout le mois de janvier !
C’est autour du 13°-14° siècle qu’apparaissent les premières traces de gâteau du partage lors de l’Epiphanie (partagé en nombre de parts des présents plus une, la part du pauvre). La tradition d’envoyer l’enfant le plus jeune sous la table, censé être le plus innocent, viendrait également à cette même époque .
rencontre avec Thibault de Montalembert
Dans le cadre des rendez-vous du Livre sur la Place, Françoise ROSSINOT a le plaisir de vous inviter à rencontrer Thibault de Montalembert, comédien, ancien pensionnaire de la Comédie-Française.
Il publie Et le verbe se fait chair (Éditions de l’Observatoire) qui sera au cœur de cette rencontre.
Salle Poirel - mercredi 3 avril 17h30
nancy-focus, News
nancy-focus, News
nancy-focus, News
nancy-focus, News
Nancy, il était une fois ...
Il etait
une fois
trianon
la cure d'air
Ancien établissement de restauration et de loisirs, fondé au début de XIXème siècle, la cure d'Air Trianon bénéficie encore aujourd'hui d'un parc remarquable ouvert à quelques dates au public.
![]() | ![]() |
---|---|
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() entrée principale | ![]() |
![]() | ![]() escalier d'accès à la grande terrasse |
![]() escalier d'accès à la grande terrasse | ![]() la grande terrasse |
![]() la grande terrasse | ![]() terrasse supérieure |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() |
![]() le grand hall | ![]() le grand hall |
![]() le grand hall | ![]() le grand hall |
![]() le grand hall, vitraux et ferronnerie style Art nouveau | ![]() le grand hall, vitraux et ferronnerie style Art nouveau |
![]() le grand hall, vitraux et ferronnerie style Art nouveau | ![]() le grand hall, vitraux et ferronnerie style Art nouveau |
![]() le grand hall, vitraux et ferronnerie style Art nouveau | ![]() le grand hall, vitraux et ferronnerie style Art nouveau |
![]() le grand hall, vitraux et ferronnerie style Art nouveau | ![]() le grand hall, vitraux et ferronnerie style Art nouveau |
![]() ferronnerie style Art nouveau | ![]() |
![]() |
L’origine de la Cure d’Air Trianon remonte à 1902. A cette époque Louis Royer, propriétaire d’une brasserie au Point Central de Nancy, souhaitait fonder une annexe d’été à leur établissement où, à la belle saison leur clientèle pourrait passer une journée entière en plein air, avec la possibilité de se restaurer et de se distraire. Ils choisirent pour installer leur établissement le coteau de Malzéville, au 75 rue Pasteur.
La réalisation de la Cure d’Air Trianon fut attribuée à Georges Biet, architecte à Nancy. Le Grand Hall fut confié à la Maison Scherzer, spécialisée en construction métallique, les 23 grands vitraux, dont seuls 18 subsistent à Henri Bergé, qui succéda à Jacques Gruber chez Daum. Le nom du site provient du "Trianon", un pavillon construit dans le parc et qui donna son nom au lieu.
La bourgeoisie nancéienne venait y manger et danser durant les beaux jours. Louis Royer, mit en place un service de voitures à chevaux depuis le Point Central pour véhiculer la clientèle.
Mais malgré tous ces atouts, l'établissement inauguré en 1903, connut rapidement des difficultés financières. En 1909, le site mis en vente par le Tribunal Civil, fut acheté par Auguste Bichaton, entrepreneur de travaux publics à Nancy. Il dessina le parc qu'il agrandit pour atteindre 21 ha.
De nos jours, la propriété appartient toujours à la famille BIchaton, qui poursuit sa restauration et ouvre au public son magnifique parc à l'occasion de journées patrimoniales. Le "Grand Hall" est, avec ses vitraux, classé monument historique.