les Ecoles de la Belle Epoque
 Saint-Georges, 18 rue Bazin - Prosper Morey - 1870 |  Stanislas, 5 et 8 rue Victor Hugo - Prosper Morey - 1874 |
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 Saint-Nicolas, 54 rue Charles III - Prosper Morey - 1881 |  Boudonville, 54 rue de BoudonvilleI - Prosper Morey - 1882 |
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 Jules Ferry, 10 rue des Jardiniers - Albert Jasson - 1882 |  Bonsecours, 21 rue de Bonsecours - Albert Jasson - 1885 |
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 Ory, 3 rue de la Salle - Albert Jasson - 1887 |  Marcel Leroy, 22 rue de Graffigny - Albert Jasson - 1891 |
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 Charles III, 100 rue Saint-Nicolas - Albert Jasson - 1897-1905 |  Saint_Georges, 31 rue de Pixérécourt - Albert Jasson - 1897 |
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 Jean Jaurès, 25 Bld Jean Jaurès - Albert Jasson - 1902 |  Braconnot, 100 rue Saint -Nicolas - Albert Jasson - 1908 |
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 Emile Gallé, 106 av de Strasbourg - Albert Jasson - 1909 |  Charlemagne, 16 rue Bazin - Albert Jasson - 1903 |
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 Tiercelins, 74 rue des Fabriques - Albert Jasson - 1910 |  Emile Gehbart, 31 rue Gehbart - Alfred Thomas -1911 |
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 Mac-Mahon, 37 rue Mac-Mahon - Alfred Thomas -1913 |
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Après la défaite de 1870, la France cède l’Alsace et la Moselle à l’Allemagne. Nancy devenue ville frontière connaît un essor sans précédent. Ainsi, en l’espace d’une quarantaine d’années, la population passe de 50 000 à 120 000 habitants.
En réponse à cette explosion démographique, l’urbanisation s’intensifie et entre 1870 et la Première Guerre mondiale, une vingtaine de nouvelles écoles communales - maternelles et élémentaires – sont ouvertes.
Deux architectes municipaux vont se succéder comme les maîtres d’œuvre de cette grande campagne de construction. Prosper Morey et Albert Jasson.
Aujourd'hui, sur les 44 écoles publiques municipales couvrant le territoire de Nancy, la moitié date de cette période de grande effervescence.