rue des Ecuries
![]() accès du n° 8 de la place de la Carrière | ![]() |
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![]() | ![]() plaque commémorative Marie Marvingt |
![]() Hôtel des Pages | ![]() |
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![]() | ![]() accès par l'hémicycle |
Hôtel des Pages
La cour d’appel est actuellement trop à l’étroit place Carrière, entre les murs prestigieux de l’hôtel de Beauvau-Craon.
Un projet d'extension figure dans les cartons du ministère de la Justice, propriétaire des lieux depuis de nombreuses années. La cour d’appel pourrait en effet s’étendre dans les trois niveaux de l’hôtel mitoyen des Pages qui, par le passé, a accueilli l’état-major des armées. Rien n'est fait !!
Marie Marvingt
pionnière de l'aviation, inventrice, sportive, alpiniste, infirmière et journaliste française a vécu rue des écuries.
Une plaque commémorative lui rend hommage.
Cette voie pittoresque et certainement l’une des plus atypiques de Nancy, a été crée en 1571 le long des remparts par le duc Charles III.
Cette rue tire son nom de l’ancienne fonction qu’elle avait. C'est en effet à cet endroit que se trouvaient les anciennes écuries ducales, situées à l'arrière du palais et le long de la place de la carrière, où l'on entrainant les chevaux et où se déroulaient des manifestations chevaleresques.
Ses accès ont été fermés lors de la construction de la place Stanislas et de l'hémicycle. Les grilles de Jean Lamour, situées aujourd'hui sur la place de la Carrière, étaient au départ destinées à orner les extrémités de la rue des Écuries. Elles furent déplacées à leur place actuelle.
Les onze passerelles qui la surplombent, ont été installées au XIXème siècle par les riverains afin de gagner les terrasses donnant sur le parc de la pépinière.
Depuis, les écuries sont devenues garages ou remises. On y accède aujourd'hui par l’une des arcades de l’hémicycle ou par le numéro 8 de la place Carrière.