avenue Anatole France
Nancy, avenue Anatole France | 3, avenue Anatole France, réalisation Alfred Thomas |
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3, avenue Anatole France, réalisation Alfred Thomas | 3, avenue Anatole France, réalisation Alfred Thomas |
3 bis, avenue Anatole France, réalisation Alfred Thomas | 3 bis, avenue Anatole France, réalisation Alfred Thomas |
8, avenue Anatole France | 8, avenue Anatole France |
8, avenue Anatole France | 8, avenue Anatole France |
8, avenue Anatole France | 10, avenue Anatole France, réalisation Louis Déon, 1922 |
10, avenue Anatole France, réalisation Louis Déon, 1922 | 10, avenue Anatole France, réalisation Louis Déon, 1922 |
12, avenue Anatole France, réalisation Louis Déon, 1910 | 14, avenue Anatole France, réalisation Louis Déon, 1911 |
16 avenue Anatole France | 17 avenue Anatole France |
20, avenue Anatole France, réalisation Louis Déon, 1909 | 21, avenue Anatole France |
25, avenue Anatole France | 26, avenue Anatole France, réalisation Louis Déon, 1909 |
26, avenue Anatole France, réalisation Louis Déon, 1909 | 30, avenue Anatole France |
30, avenue Anatole France, réalisation Fernand César, 1910 | 31, avenue Anatole France |
32, avenue Anatole France | 32, avenue Anatole France |
36, avenue Anatole France, réalisation Fernand César, 1910 | |
40, avenue Anatole France | 42, avenue Anatole France, réalisation Louis Déon, 1913 |
42, avenue Anatole France, réalisation Louis Déon, 1913 | 42, avenue Anatole France, réalisation Louis Déon, 1913 |
42, avenue Anatole France, réalisation Louis Déon, 1913 | 40 avenue Anatole France, réalisation Louis Déon, 1912 |
46, avenue Anatole France | 11, rue Abbé Gridel, réalisation Charles Masson, 1934 |
49 bis, avenue Anatole France, réalisation Charles Masson, 1934 | |
49 bis, avenue Anatole France, réalisation Charles Masson, 1934 | 48 ter, avenue Anatole France, réalisation Charles Masson, 1934 |
48 ter, avenue Anatole France, réalisation Charles Masson, 1934 | 48 ter, avenue Anatole France, réalisation Charles Masson, 1934 |
48 ter, avenue Anatole France, réalisation Charles Masson, 1934 | 48 ter, avenue Anatole France, réalisation Charles Masson, 1934 |
48 bis, avenue Anatole France, réalisation Charles Masson, 1934 | |
54, avenue Anatole France | 70, avenue Anatole France, réalisation Fernand César, 1911 |
74, avenue Anatole France, réalisation César Pain, 1912 | 58, rue Paul Déroulède, réalisation César Pain |
58, rue Paul Déroulède, réalisation César Pain | 58, rue Paul Déroulède, réalisation César Pain |
58, rue Paul Déroulède, réalisation César Pain | |
41, rue Paul Déroulède |
Nous sommes à la fin du XIXème siècle. Après la défaite française de 1870, l'Alsace et la Moselle, annexées par l'Allemagne, génèrent une migration très importante de ses habitants vers Nancy, devenue première grande ville frontalière. En trente ans la population de la ville double pour atteindre plus de 100.000 habitants.
La municipalité doit alors faire face à une crise du logement. La ville s'étend, de nouvelles voies sont ouvertes, dont l'avenue Anatole France, initialement baptisée rue puis boulevard de France. Elle porte aujourd'hui le nom de l'écrivain écrivain français Anatole France.
C'est une période charnière, marquée par la fin du courant Art nouveau et les prémices de l'Art déco. Ainsi, le début de l'avenue s'est développé dans l'esprit Art nouveau, pour terminer style Art déco, certaines constructions étant nuancées des deux courants artistiques.
Tous ces immeubles remarquables, réalisés à partir de 1910, sont l'œuvre de grands architectes (Louis Déon, Charles Masson, Fernand César, César Pain, etc ...)
boulevard Albert 1er
place Godefroid de Bouillon | place Godefroid de Bouillon, monument en hommage au roi de Belgique Albert 1er |
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place Godefroid de Bouillon | 59, avenue de la Libération - Nancy |
59, avenue de la Libération - Nancy | 2, boulevard Albert 1er - Nancy |
2, boulevard Albert 1er - Nancy | 8, boulevard Albert 1er - Nancy |
8, boulevard Albert 1er - Nancy | 8, boulevard Albert 1er - Nancy |
8, boulevard Albert 1er - Nancy | 10, boulevard Albert 1er - Nancy |
10, boulevard Albert 1er - Nancy | 10, boulevard Albert 1er - Nancy |
10, boulevard Albert 1er - Nancy | 10, boulevard Albert 1er - Nancy |
10, boulevard Albert 1er - Nancy | 10, boulevard Albert 1er - Nancy |
12, boulevard Albert 1er - Nancy | 12, boulevard Albert 1er - Nancy |
12, boulevard Albert 1er - Nancy | 12, boulevard Albert 1er - Nancy |
12, boulevard Albert 1er - Nancy | 14, boulevard Albert 1er - Nancy |
26, boulevard Albert 1er - Nancy | 26, boulevard Albert 1er - Nancy |
32, boulevard Albert 1er - Nancy | 32, boulevard Albert 1er - Nancy |
22, rue de Verdun - Nancy | 22, rue de Verdun - Nancy |
22, rue de Verdun - Nancy | 42, boulevard Albert 1er - Nancy |
50, boulevard Albert 1er - Nancy | |
50, boulevard Albert 1er - Nancy | 50, boulevard Albert 1er - Nancy |
52, boulevard Albert 1er - Nancy | 56, boulevard Albert 1er - Nancy |
56, boulevard Albert 1er - Nancy | |
49, rue de Boudonville - Nancy | |
60, boulevard Albert 1er - Nancy | 60, boulevard Albert 1er - Nancy |
60, boulevard Albert 1er - Nancy | |
place Aimé Morot - Nancy | parc Bonnet - Nancy |
parc Bonnet - Nancy | parc Bonnet - Nancy |
33, boulevard Albert 1er - Nancy | 33, boulevard Albert 1er - Nancy |
33, boulevard Albert 1er - Nancy | |
19, boulevard Albert 1er - Nancy |
Entre la place Godefroy-de-Bouillon et le parc Bonnet, cette grande artère présente un habitat très disparate, composé d'immeubles de différentes époques, d'hôtels particuliers, de maisons, de terrains vierges !!
Le boulevard Albert 1er que l'on parcourt droit devant, mérite davantage d’intérêt, au regard des perles architecturales qu'il présente.
Il porte le nom du roi de Belgique Albert 1er, surnommé le roi soldat, du fait de sa forte implication dans le conflit de la 1ère guerre mondiale. Le maréchal Foch lui confia par ailleurs pour mission la reprise les Crêtes de Flandres. La région de Lorraine fut unanime dans la reconnaissance de cette perte que fut la mort accidentelle du roi le 17 février 1934. Ainsi, le 04/10/1934 fut inauguré en son hommage, le monument situé place Godefroy-de-Bouillon.
rue et rond-point Lepois
25, rue de la Ravinelle - Nancy | 25, rue de la Ravinelle - Nancy |
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3, rue Lepois - Nancy | 4, rue Lepois - Nancy |
4, rue Lepois - Nancy | 5, rue Lepois - Nancy |
6, rue Lepois - Nancy | 6, rue Lepois - Nancy |
6, rue Lepois - Nancy | 8, rue Lepois - Nancy |
10, rue Lepois - Nancy | 10, rue Lepois - Nancy |
10, rue Lepois - Nancy | 10, rue Lepois - Nancy |
11, rue Lepois - Nancy | 11, rue Lepois - Nancy |
11, rue Lepois - Nancy | 15, rue Lepois - Nancy |
16, rue Lepois - Nancy | 23, rue Lepois - Nancy |
23, rue Lepois - Nancy | 25, rue Lepois - Nancy |
1, rond point Lepois - Nancy | 1, rond point Lepois - Nancy |
1, rond point Lepois - Nancy | 1, rond point Lepois - Nancy |
2, rond point Lepois - Nancy | 4, rond point Lepois - Nancy |
8, rond point Lepois - Nancy | 14, rond point Lepois - Nancy |
A proximité du centre ville et de la place Thiers, la rue Lepois est un lieu tout à fait unique à Nancy, présentant un ensemble d’hôtels particuliers et d'immeubles bourgeois à l'architecture remarquable.
Cette rue, ouverte en 1875, fait éloge à Charles Lepois (1563-1633), médecin français, professeur et doyen de l'école de Médecine de l'Université de Pont-à-Mousson.
A l'extrémité gauche de la rue, se trouve le Rond-Point Lepois. Secteur appartenant à M. Beaupré, initialement constitué d'une impasse au milieu d'un terrain de 4000 m², déserté des acquéreurs pendant 20 ans.
Fin XiXème, la création du rond-point, puis de l’octogone a permis de relancer la construction de dix hôtels particuliers réalisés par l’architecte Bourgon.
rue des Bégonias
rue des Bégonias | 1 et 3, rue des Bégonias - n°3 architecte Louis Déon (1879-1923) |
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3, rue des Bégonias | 9, rue des Bégonias |
9, rue des Bégonias | 9, rue des Bégonias |
10, rue des Bégonias | 11 à 13, rue des Bégonias |
11, rue des Bégonias | 12 et 10, rue des Bégonias |
12, rue des Bégonias, construite en 1898 | 13, rue des Bégonias |
13, rue des Bégonias | 13, rue des Bégonias |
14, rue des Bégonias | 14, rue des Bégonias - architecte Charles-Désiré Bourgon (1855 - 1915) |
15, rue des Bégonias | 15, rue des Bégonias |
15, rue des Bégonias | 16, rue des Bégonias |
16, rue des Bégonias | 16, rue des Bégonias |
16, rue des Bégonias | 16, rue des Bégonias |
18, rue des Bégonias | 20, rue des Bégonias |
20, rue des Bégonias | 20, rue des Bégonias |
20, rue des Bégonias | 20, rue des Bégonias |
Cette rue essentiellement résidentielle, marquée par la présence de nombreuses demeures style Art Nouveau réalisées au début du XXéme siècle, est un écrin de trésors architecturaux.
La rue doit son nom aux productions de fleurs de François Félix Crousse (1840-1925), horticulteur et spécialiste mondial du bégonia, qui créa plusieurs centaines de variétés de plantes dans ses serres situées à l'emplacement de l'actuelle rue. C'est en 1893 que Félix Crousse demanda l’ouverture de cette rue à travers sa propriété.
En 1902, quelque cinquante familles, tous notables seront propriétaires dans la rue des Bégonias. Les immeubles et maisons sont construits selon les plans des plus grands architectes de l’époque (Déon, Bourgon, Gutton et Hornecker).
rue Félix Faure
La rue Félix-Faure, du nom du président de la République française Félix Faure, fut inaugurée quatre ans après sa mort, en 1903.
D'une grande cohérence architecturale, avec un alignement d'édifices de même hauteur, la rue Félix-Faure est marquée par la présence de nombreuses demeures de style École de Nancy, réalisées notamment par César Pain, à l'origine des premières constructions au début du xxe siècle.
rue Saint- Dizier
la rue Saint-Dizier, vue depuis la porte Saint-Nicolas | porte Saint-Nicolas, façade place des Vosges |
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porte Saint-Nicolas, façade rue Saint-Dizier, à gauche Hospice des Enfants Trouvés, créé par Stanislas | 163, rue St-Dizier, hospice des Enfants Trouvés créé par Stanislas |
163, rue St-Dizier, porche de l'Hospice des Enfants Trouvés | 163, rue St-Dizier, chapelle du Noviciat |
136bis, rue St-Dizier | statue de la Vierge Marie, angle des rues St-Dizier et Charles III |
134bis, rue St-Dizier, architecte Lucien Humbert, 1900 | 134bis, rue St-Dizier, architecte Lucien Humbert, 1900 |
133, rue St-Dizier | 133, rue St-Dizier |
133, rue St-Dizier | 133, rue St-Dizier |
127, rue St-Dizier | 127, rue St-Dizier |
127, rue St-Dizier | 127, rue St-Dizier |
127, rue St-Dizier | 127, rue St-Dizier |
114, rue St-Dizier, ancien Hôtel particulier de Jean-Charles-François de Lavaulx, maison de l'explorateur Crampel | 114, rue St-Dizier, ancien Hôtel particulier de Jean-Charles-François de Lavaulx, maison de l'explorateur Crampel |
110, rue St-Dizier | 64, rue St-Dizier |
64, rue St-Dizier | 64, rue St-Dizier, façade décorée par une mosaïque |
64, rue St-Dizier, façade décorée par une mosaïque | 61, rue St-Dizier |
54, rue St-Dizier, maison de Jean-Baptiste Isabey | 54, rue St-Dizier, maison de Jean-Baptiste Isabey, |
54, rue St-Dizier, maison de Jean-Baptiste Isabey, statue de la Vierge | 52, rue St-Dizier, le marché central de Nancy |
52, rue St-Dizier, le marché central de Nancy | 47, rue St-Dizier, magasins La Belle Jardinière et Vaxelaire-Pignot |
47, rue St-Dizier, magasin La Belle Jardinière | 47, rue St-Dizier, magasin La Belle Jardinière |
47, rue St-Dizier, magasin Vaxelaire-Pignot | 47, rue St-Dizier, magasin Vaxelaire-Pignot, le lion symbole de la force |
48, rue St-Dizier, maison de Hanus, statue du duc Léopold | 48, rue St-Dizier, statue du duc Léopold |
44, rue St-Dizier, maison Aimé construite en 1905 - architectes Georges Biet et Eugène Vallin | 44, rue St-Dizier, maison Aimé construite en 1905 - architectes Georges Biet et Eugène Vallin |
église Saint-Roch, 1620-1731, était située à l'angle des rues St-Dizier et St-Jean (disparue) | 39, rue St-Dizier |
36, rue St-Dizier | 34, rue St-Dizier, le Grand Café, architecte Lucien Bentz, 1909 |
34, rue St-Dizier, le Grand Café, architecte Lucien Bentz, 1909 | 35, rue St-Dizier, pharmacie du Point Central, style Art déco |
30, rue St-Dizier | 26, rue St-Dizier |
26, rue St-Dizier | 26, rue St-Dizier, devanture ancienne maison Eugène Arnoux-Masson de 1911 - architecte Louis déon, verrière de Jacques Gruber |
26, rue St-Dizier, devanture ancienne maison Eugène Arnoux-Masson de 1911 - architecte Louis déon, verrière de Jacques Gruber | 26, rue St-Dizier |
26, rue St-Dizier | 22, rue St-Dizier, maison de Clodion |
22, rue St-Dizier, maison de Clodion | 22, rue St-Dizier, maison de Clodion |
22, rue St-Dizier, maison de Clodion | 17, rue St-Dizier, Hôtel de Mahuet |
17, rue St-Dizier, Hôtel de Mahuet | 17, rue St-Dizier, Hôtel de Mahuet |
19, rue St-Dizier | 19, rue St-Dizier |
12, rue St-Dizier, Hôtel de Beauvau, origine datant de 1592 | 12, rue St-Dizier, Hôtel de Beauvau, origine datant de 1592 |
12, rue St-Dizier, Hôtel de Beauvau, origine datant de 1592 | |
Du XVI° au XVIII° siècles, furent construits un grand nombre d’hôtels, ainsi que quatre églises (église Saint-Roch, église des religieuses du Saint-Sacrement, église des Capucins, et l'église du Noviciat et du Collège des Jésuites. Seul subsiste le Noviciat qui fut fondé en 1602, à cet endroit, par Antoine de Lenoncourt. Après l’expulsion des Jésuites, le Collège fondé en 1616, fut installé dans les murs de cet ancien Noviciat (1768). II devint, en 1805, Hospice des Enfants Trouvés, créé par Stanislas.
Aujourd'hui, la rue Saint-Dizier, très dégradée durant les dernières décennies, reprend progressivement de son allure, grâce aux rénovations de son patrimoine, aux restaurations d'immeubles et reconversions commerciales.
La rue Saint-Dizier qui relie la porte Saint-Nicolas (place des Vosges) à la rue Stanislas, est une des artères principales de la Ville-Neuve créée par le duc Charles Charles III à la fin du XVIème siècle. Elle croise notamment la rue Saint-Jean, autre axe majeur au carrefour dénommé Point Central.
Elle porte le nom du petit village de Saint-Dizier, bâti au nord de Nancy, détruit pour être intégré dans la nouvelle ville, et renforcer les défenses au nord. Après sa destruction, il ne subsista que trois maisons, d'où le nom porté par l'actuel quartier situé à son emplacement. Le duc offrit en compensation aux habitants, des terrains dans la Ville-Neuve, pour pouvoir leur permettre de construire de nouvelles maisons et de se reloger.
Elle porta les noms successifs suivants : "1ère Grande-Rue", "2ème Grande-Rue", "faubourg Saint-Dizier", "Grande-rue du faubourg Saint-Dizier", "rue de la Constitution" en 1791 et enfin "rue Saint-Dizier" depuis 1814.
rue Saint- Jean
la rue Saint-Jean, en descente de la place Maginot | ancienne banque Renaudt 1907, architectes Émile André et Paul Charbonnier |
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ancienne banque Renaudt 1907, architectes Émile André et Paul Charbonnier | ancienne banque Renaudt 1907, architectes Émile André et Paul Charbonnier |
ancienne graineterie 1901 Art nouveau, commanditaire Jules Génin, architecte Henry Guitton | ancienne graineterie, seul immeuble Art nouveau présentant une structure métallique apparente. |
n°48 ancien Palais de la Bière 1926, architecte Pierre Le Bourgeois | n°48 ancien Palais de la Bière 1926, architecte Pierre Le Bourgeois |
n°40 immeuble construit en 1886 par l’architecte Charles André | n°40 immeuble construit en 1886 par l’architecte Charles André |
n°40 immeuble construit en 1886 par l’architecte Charles André | n°40 immeuble construit en 1886 par l’architecte Charles André |
locaux de l'ancienne Banque Nationale de Crédit 1926 | locaux de l'ancienne Banque Nationale de Crédit début XXème |
locaux de l'ancienne Banque Nationale de Crédit début XXème | pharmacie du point central, réalisé en 1922 par Louis Godfrin |
pharmacie du point central, réalisé en 1922 par Louis Godfrin | pharmacie du point central, réalisé en 1922 par Louis Godfrin |
pharmacie du point central, réalisé en 1922 par Louis Godfrin | banque Le Crédit Lyonnais 1901-1902, architecte Félicien César |
banque Le Crédit Lyonnais 1901-1902, architecte Félicien César | banque Le Crédit Lyonnais 1901-1902, architecte Félicien César |
banque Le Crédit Lyonnais 1901-1902, architecte Félicien César | grande verrière de 25m de Charles Gauvillé d’après les plans fournis par Jacques Gruber. |
ancienne banque d'Alsace Lorraine | le modernisme des années 60 |
l'envers du décor !! | le modernisme des années 60 |
anciens établissements Majorelle 1921, architecte Paul Charbonnier | |
anciens établissements Majorelle 1921, architecte Paul Charbonnier | |
n° 44, rue saint-Georges | |
n° 44, rue saint-Georges | |
Immeuble Casino des Familles 1902, architecte Louis Lanternier | Immeuble Casino des Familles 6 édifice construit en 1902 par l'architecte Louis Lanternier |
Cathédrale Notre-Dame-de-l'Annonciation 1707 | |
porte Saint-Georges |
Cette rue est avec la rue Saint-Dizier, un des deux axes majeurs de la Ville Neuve de Charles III. Limitée à l'Ouest par la porte St-Jean, construite de 1604 à 1620, aujourd'hui disparue, et à l'Est par la porte des Moulins, située à la hauteur de la Cathédrale. La rue tire son nom du ruisseau Saint-Jean qui suivait son cours et formait l'étang Saint-Jean.
Lors de la réalisation en 1605 de la Ville-Neuve par Charles III, les remparts, à peine terminés, furent détruits et reculés vers l’Est. La nouvelle porte Saint-Georges remplaça la porte des Moulins et fut construite de 1608 à 1610.
Dès le XVIII° siècle, on prit l’habitude de distinguer la rue primitive (rue des Moulins) et la rue Saint-Georges.
Aujourd’hui, la rue Saint-Jean reste une des principales rues de Nancy et l’une des plus commerçantes. Les constructions d'origine sont pratiquement toutes disparues. Bien que disposant encore de quelques pépites architecturales du début du XXème siècle, la rue a perdu de sa superbe avec les idées modernismes des années 60, et la tristesse grisâtre de la ligne de la tram.
avenue de Strasbourg
avenue de Strasbourg, depuis le place des Vosges | Hôpital Central |
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Hôpital Central | Hôpital Central |
Hôpital Central | Hôpital Central |
façade hôpital marin | façade hôpital marin |
Hôtel de la Mission Royale | Hôtel de la Mission Royale |
cour intérieure de l'Hôtel de la Mission Royale | Hôtel de la Mission Royale |
Hôtel de la Mission Royale | Hôtel de la Mission Royale |
ancienne église Saint-Pierre de l'Hôtel de la Mission Royale | ancienne église Saint-Pierre de l'Hôtel de la Mission Royale |
ancienne église Saint-Pierre de l'Hôtel de la Mission Royale | ancienne église Saint-Pierre de l'Hôtel de la Mission Royale |
Hôtel de la Mission Royale | église Saint-Pierre |
église Saint-Pierre | portail monumental du parc Olry |
parc Olry | parc Olry |
fresque de Vhils | fresque de Vhils |
ancien établissement LingeLor | ancien établissement LingeLor, aujourd'hui |
ancien pensionnat des Dominicains | emplacement de l'ancien pensionnat des Dominicains, aujourd'hui |
Maison de Coriolis | |
Notre dame de Bonsecours | |
Notre dame de Bonsecours | avenue de Strasbourg, coté ND de Bonsecours |
Située dans le quartier Saint-Pierre - René II - Marcel Brot, la longue avenue rectiligne qui relie la place des Vosges à l'église de Bonsecours honore la ville de Strasbourg depuis le 6 août 1873, pour sa résistance durant la guerre de 1870. La partie de la place des Vosges à l'avenue du Docteur-Heydenreich a été débaptisée pour prendre le nom d'avenue du Maréchal de-Lattre-de-Tassigny.
Cette longue artère, malgré un habitat sans grand intérêt, présente cependant plusieurs bâtiments historiques et lieux remarquables :
- l'Hôpital Central, construit à partir de 1879 par Prosper Morey, avec son entrée monumentale, sa cour intérieure, sa chapelle,-
- l'Hôtel de la Mission Royale, créé par Stanislas, inauguré en 1743. Il accueillit les Jésuites et sera Séminaire jusqu'en 1907. Aujourd'hui, occupé par le campus Sciences-Po.
- l'œuvre street-art du graffeur Vhils,
- le parc Olry, légué à la Ville par Achille Olry, avec sa porte monumentale provenant de l'Hôtel Mahuet,
- la maison de Coriolis,
- l'église ND de Bonsecours, construite sur commande de Stanislas sur l'ancienne chapelle de Bonsecours. Réalisée par Emmanuel Héré entre 1737 et 1741, pour devenir la sépulture de Stanislas.
rue des Dominicains
rue des Dom's, depuis les grilles de la place Stanislas | rue des Dom's, depuis les grilles de la place Stanislas |
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Nancy, rue des Dom's | Nancy, rue des Dom's |
Hôtel de Ville, reliefs représentant les huit portes de Nancy | n°4 : devanture de commerce, style Art nouveau |
n°4 : devanture de commerce, style Art nouveau | n°4 : devanture de commerce, style Art nouveau |
n°6 : devanture de commerce, style Art nouveau | n°8 : portail |
n°8 : portail | n°19 : devanture de commerce, style Art nouveau |
n°32 : devanture ancienne | n°38 : pharmacie Ginkgo, style Art nouveau |
n°38 : pharmacie Ginkgo, style Art nouveau | n°38 : pharmacie Ginkgo, style Art nouveau |
n°38 : pharmacie Ginkgo, style Art nouveau | Nancy, Nancy, rue des Dom's |
Nancy, Nancy, rue des Dom's | n°53 : immeuble aux mascarons |
n°53 : immeuble aux mascarons | n°53 : immeuble aux mascarons |
n°53 : immeuble aux mascarons | n°53 : immeuble aux mascarons |
n°59 : Maison des Adam | n°59 : Maison des Adam, 1er niveau |
n°59 : Maison des Adam, 1er niveau | n°59 : Maison des Adam, 1er niveau |
n°59 : Maison des Adam, 1er niveau | n°59 : Maison des Adam, 2ème niveau |
n°59 : Maison des Adam, 2ème niveau | n°59 : Maison des Adam, 2ème niveau |
n°59 : Maison des Adam, 3ème niveau | n°59 : Maison des Adam, 3ème niveau |
n°59 : Maison des Adam, 3ème niveau | n°59 : Maison des Adam, 3ème niveau |
n°59 : Maison des Adam, 3ème niveau | Nancy, Nancy, rue des Dom's |
Communément appelée rue des Dom’s, c'est la plus ancienne rue de la Ville-Neuve de Charles III. En prolongement de la Grande Rue, elle quittait Initialement la ville médiévale par la primitive porte Saint-Nicolas (disparue au XVIII° siècle) et constituait l'axe principal du faubourg Saint-Nicolas qui aboutissait jusqu'à Saint-Nicolas-de-Port. Cette route ancienne, qui remonte au Moyen Age, fut conservée par Charles III, lorsque fut tracé le plan de la Ville Neuve.
Les Dominicains s’y installèrent en 1640 à l’emplacement approximatif du n° 40 actuel, grâce à une fondation de François du Hallier, gouverneur de Nancy. Leur église, reconstruite au XVIII° siècle, se trouvait à l’emplacement du passage du Casino. Les Dominicains furent dispersés à la Révolution et leur couvent, vendu comme bien national, fut entièrement détruit. En 1843, le Père Henri-Dominique Lacordaire restaure en France l’Ordre des frères prêcheurs. Le couvent des Dominicains se situe 4, rue Lacordaire,
|bâtiments remarquables
no 4 : devanture de magasin de style art nouveau inscrit au titre des monuments historiques depuis 1994,
no 38 : pharmacie du Ginkgo, de style art nouveau,
no 57 : Maison des Adam, édifice classé au titre des monuments historiques depuis 1946.
|ses anciens noms
1611 : rue Neuve Saint-Nicolas,
1728 : rue des Jacobins (autre nom des Dominicains),
1754, à la Révolution : rue Jean-Jacques Rousseau,
1814 : dénomination actuelle.
rue Saint-Nicolas
école municipale Ory | école municipale Ory |
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école communale Charles III | école communale Charles III, porche d'entrée |
école communale Charles III, 1898 aurait du être traduit MDCCCXCVIII | école communale Charles III, porche d'entrée |
les anciens Bains Douche Saint-Nicolas, 67 rue saint-Nicolas | |
32 rue Saint-Nicolas | 30 rue Saint-Nicolas |
30 rue Saint-Nicolas | 27 rue Saint-Nicolas |
11 rue Saint-Nicolas | 30 rue Saint-Nicolas |
2 rue Saint-Nicolas | 2 rue Saint-Nicolas |
2 rue Saint-Nicolas | 13 rue du pont Mouja |
13 rue du pont Mouja | 13 rue du pont Mouja |
13 rue du pont Mouja | |
30 rue du pont Mouja | 27 rue du pont Mouja |
3 rue St-Nicolas | 3 rue St-Nicolas |
31 rue St-Nicolas, cour intérieure | |
31 rue St-Nicolas, cour intérieure | 31 rue St-Nicolas, cour intérieure |
31 rue St-Nicolas, cour intérieure | 31 rue St-Nicolas, cour intérieure |
devanture Art nouveau, 36 rue Saint-Nicolas | façades symétriques, 8 rue de la Salle |
immeuble, 6 rue de la Salle | immeuble, 6 rue de la Salle |
La sinueuse rue Saint-Nicolas est la plus ancienne voie de la Ville-Neuve construite par le duc Charles III en 1590. Elle a repris en effet l'itinéraire de la vieille route médiévale qui menait de Nancy à Saint Nicolas-de-Port. C'est pour cette raison qu'elle est la seule à ne pas avoir un tracé rectiligne.
Initialement, la vieille route de Saint Nicolas-de-Port s’arrêtait aux remparts, au-delà desquels elle ne fut pas prolongée. Pour sortir de Nancy, il fallait emprunter la rue Saint-Dizier, puis la nouvelle porte dite de Saint Nicolas et par l’actuelle avenue de Strasbourg. L’ancienne route de Saint- Nicolas perdit donc sa fonction initiale. Ce n’est qu’en 1871 que la rue Saint-Nicolas fut de nouveau ouverte, hors les murs, par le percement de la rue de La Salle, à travers les anciennes fortifications.
Elle présente une alternance de quelques façades renaissances au milieu d'édifices de style classiques, dont certaines portes sont protégées au titre des monuments historiques.
Aujourd'hui, la rue Saint-Nicolas, malgré des travaux récents d'aménagements de voirie, a hélas perdu une grande partie de sa superbe, par la présence anarchique de commerces très disgracieux, d'équipements divers installés en dépit du bon sens, sans respect de l'environnement, et par un patrimoine en souffrance d'entretiens et de rénovations.
|ses anciens noms
- rue Neuve Saint Nicolas,
- rue du Faubourg Saint Nicolas,
- 1793 : à la suite de la Révolution, rue des Sans-Culottes,
- 1795 : rue Descartes,
- 1796 : rue Voltaire,
- 1814 : dénomination actuelle.
Saint-Nicolas est le saint patron des lorrains, depuis que le duc René II, en reconnaissance de sa victoire de Nancy (1477), le consacra à la Lorraine, en édifiant notamment la basilique de Saint-Nicolas-de-Port.
|bâtiments remarquables
La plupart des maisons de cette rue sont de beaux hôtels du XVIII° siècle.
n°_9 : immeuble, un des mieux conservés de Nancy, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1998 pour son intérieur du XVIIe siècle .
n°_11 : immeuble, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1946 pour sa porte avec vantaux en menuiserie.
n°_27 : immeuble, dont la porte d'entrée est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1946.
n°_30 : immeuble, avec une porte cochère et les vantaux en menuiserie inscrits au titre des monuments historiques depuis 1946.
n°_31 : sur la rue Drouot, ouverte en 1842, se trouvaient les dépendances du couvent des religieuses du Saint-Sacrement.
Les n°_96 et 98 furent, en 1624, le couvent de Notre-Dame du Refuge, fondé par Elisabeth de Ranfaing. Ce couvent s’installa, en 1696, dans la rue des Quatre Eglises.